bienvenue
Quoiqu’on aime à deux
Quoiqu’on souffre ensemble
Tous les deux,
Au fond bien peu on ne se ressemble.
Car il suffit d’une querelle même infirme
Pour qu’entre nous existent des abîmes.
Quoiqu’on se croit éperdu de tendresses
On a plus besoin d’espaces que de caresses
Pour pslamodier toutes nos souffrances de coeur
Qui de nos torpeurs sont nées par pur orgueil.
Quoiqu’on vit sans ambages nos rancoeurs,
Quoiqu’on se surpasse pour vivre nos deuils,
La passion nous exhorte toujours à aimer
Sans retenue, avec toute l’allégresse du monde.
Ainsi la clarté obscure du jour nous trépide avec finesse
Quand le silence de la nuit nous murmure avec parcimonie
Le nom du bonheur qui nous tient en liesse.
Alors quoiqu’il arrive, nous nous en remettons au destin par pure complaisance d’harmonie.
Quoiqu’il en soit, l’abnégation à aimer ne cesse de rimer avec NOUS